Enfin l’année de la biodiversité ?

Avec la crise sanitaire, le risque de démobilisation sur les enjeux de biodiversité est grand. Après l’échec de l’engagement pris en 2002 à Johannesburg de « stopper l’érosion de la biodiversité », les choses ont enfin commencé à bouger parmi les dirigeants de la planète.

2021 devait être la "super année" de la biodiversité

 

 

 

One Planet summit 2021

le 11 janvier 2021 à Paris

 

Organisé à l’initiative du président français, Emmanuel Macron. Les participants ont pris quatre principaux engagements : protéger les écosystèmes terrestres et marins, promouvoir l’agroécologie, mobiliser des financements en faveur de la biodiversité, protéger les forêts, les espèces et la santé humaine.

Le site du One Planet summit

 

 

 

Le Congrès mondial de la nature de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature)

du 3 au 11 septembre 2021 à Marseille

Plus grand congrès dédié à la biodiversité au monde, il doit contribuer à inscrire la biodiversité dans une stratégie nationale et mondiale au même titre que le climat. L’événement, auquel participe la Caisse des Dépôts, réunit près de 160 pays, des ONG et des peuples du monde entier

La page spéciale Journée de la Nature organisée par la CDC à l'occasion de l'UICN

 

 

La COP 15, conférence de l’ONU sur la biodiversité à Kunming (Chine)

repoussée à avril 2022 

L’événement, très attendu, doit adopter un nouveau cadre mondial pour la prochaine décennie. L’ONU a dévoilé de grands objectifs sur lesquels les États doivent s’entendre, tel que stopper l’érosion de la biodiversité d’ici 2030 ou encore restaurer, d’ici 2050, 20% de la biodiversité détruite.

 

Le site de la COP15 (en Anglais)

©Virginie Martin

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