CNR accompagne la transition de l’agriculture en vallée du Rhône

CNR Energie et environnement

CNR s’engage auprès du monde agricole pour son adaptation aux enjeux d’aujourd’hui : changement climatique, préservation de la ressource en eau et de la biodiversité. Dans le cadre de son 1er plan 5Rhône, elle lance un appel à projets à destination des collectifs agricoles pour la mise en place d’essais en agroécologie dans le sillon rhodanien.

Il s’agit d’accompagner et promouvoir un modèle innovant d’agriculture, qui associe performance économique et respect de l’environnement, pour une agriculture soutenable et une alimentation plus saine.

Peuvent candidater les structures personnes morales porteuses de collectifs agricoles1. CNR apportera une contribution majeure au financement du projet2 sur une période de 3 à 5 ans.

Les projets devront :

  • Permettre la préservation du cycle de l’eau et de la biodiversité ;
  • Être des projets de rupture inscrits dans la durée ;
  • Inclure une dimension de partage de la connaissance.

L’appel à projet sera officiellement lancé le 1er septembre 2022. Les offres pourront être soumises jusqu’au 16 décembre et les résultats seront présentés en mars 2023.

 

Dans le cadre de la loi Aménagement du Rhône qui acte la prolongation de la concession du fleuve à CNR jusqu’en 2041, CNR fait évoluer ses missions d’intérêt général en Plans 5Rhône. Son objectif : le développement durable de la vallée du Rhône, afin de transmettre aux futures générations un fleuve et des territoires valorisés.

 

En savoir plus sur l’appel à projets Ensemble, accompagnons la transition de l'agriculture en vallée du Rhône 2022

Lire notre article CNR : la concession du Rhône prolongée jusqu’en 2041

Carte des territoires éligibles pour l’appel à projets en agroécologie de CNR

Crédit © CNR

(1) Comme les Etablissements publics et groupements de collectivités territoriales, les collectivités territoriales, les associations agricoles, les Chambres d’agriculture, les coopératives agricoles, les associations de développement local, etc.

(2) Au maximum 80 %.