Biodiversité en ville : prioriser l’humain ou la nature ?

I4CE

Energie et environnement

Scet nous interroge sur la biodiversité en ville : faut-il prioriser l’humain ou la nature ? Dans un contexte de protection de l’environnement, la priorité est de limiter l’artificialisation des sols mais la crise du logement impose de produire des opérations d’aménagement. Scet présente le point de vue de deux experts.

Pour Marion Perret-Blois, urbaniste et membre du Mouvement de la frugalité heureuse et créative dans l’architecture et l’aménagement du territoire, il faut arrêter d’opposer crise écologique et crise du logement : nous avons besoin à la fois de logements et de territoires habitables.

 

Pour Laurent Girometti, directeur général de Epa-Marne Epa-France, l’aménageur cherche des compromis : il n’oppose pas la crise écologique et la crise du logement, il n’oppose pas non plus urbanisme et biodiversité. Il considère qu’il faut hiérarchiser au cas par cas les priorités selon le projet urbain et l’environnement présent.

 

 

Pour découvrir leurs arguments, télécharger la brochure éditée par Scet :

Brochure Scet En ville, l’usage humain doit-il passer après la protection de la faune et la flore ?