CNR et Rhône Modal Shift : transformer les infrastructures portuaires

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Infrastructures

Sous l’impulsion de l’État et à l’issue d’une mise en concurrence, CNR confie la gestion des ports de Vienne Sud et de Portes-lès-Valence à Rhône Modal Shift, un consortium structuré autour du groupe logistique international Rhenus (51 %), de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) Nord Isère (20 %), de la CCI de la Drôme (20 %) et de la société Report Modal des CCI d’Auvergne-Rhône-Alpes (9 %).

En attribuant pour 25 ans l’exploitation de ces deux plateformes portuaires situées au cœur de la première région industrielle de France, CNR consolide les derniers maillons de la chaîne fluvio-portuaire qui relie le bassin économique de Lyon au grand port maritime de Marseille-Fos.

 

CNR a initié dès 2022 le renouvellement des 4 sous-concessions des ports publics de fret - Lyon, Vienne Sud, Portes-lès-Valence et Arles. Les travaux de modernisation de ces 4 ports, contractualisés avec leurs nouveaux exploitants, représentent un investissement global de 80 M€ cofinancé à hauteur de 10 M€ par l’État et de 14 M€ par CNR.

 

Moderniser les ports et dynamiser le trafic fluvial, vers une logistique décarbonée :

  1. En 2024, le port de Vienne Sud a traité 115 000 tonnes de marchandises par voie fluviale et 137 000 tonnes par voie ferroviaire. Via un investissement significatif dans les infrastructures portuaires, dont 1 M€ apporté par CNR, Rhône Modal Shift s’engage à doubler ces volumes d’ici à 2032.

 

  1. Le port fluvial de Portes-lès-Valence a quant à lui traité 80 000 tonnes de marchandises par voie d’eau et 171 000 tonnes par le réseau ferré en 2024. Rhône Modal Shift s’engage à investir fortement aux côtés de CNR, qui apporte 1 M€, pour moderniser les infrastructures et équipements du port.

En misant sur l’expertise d’un groupe international de la supply chain et l’expérience historique des CCI pour élargir le rayonnement des ports de Vienne Sud et de Portes-lès-Valence, CNR fait à nouveau le choix de l’audace et du pragmatisme. Deux paramètres dont l’axe Méditerranée Rhône-Saône a besoin pour capter de nouveaux flux de marchandises, attirer une industrie compétitive et entrer de plain-pied dans l’ère de la décarbonation.

Laurence Borie-Bancel, présidente de CNR